UNIVERS 1

LA VOIX
Avant toutes choses, le VOCABLE.
Le Père...le début.
Gbé, Gbê, le Chemin,
la Route qui conduit vers...
Le Début du Sens de notre Vie.
Notre Genèse d'Hommes dans l'UNIVERS.
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Si FA m’était conté.
Préambule.

Les maîtres de philosophie du YÊ sont enchantés de guider la pensée de ses habitants, natifs ou ascendants, dans la poursuite réjouissante des tentatives de solution des problèmes universels. Ces maîtres de philosophie du YÊ sont les « sages du Yêmê », les êtres de sagesse qui emploient la vérité de la connaissance et les faits de l’expérience dans leurs efforts pour triompher de l’inconnu. Avec eux, la connaissance atteint la vérité et l’expérience s’élève à la sagesse. Au YÊMÊ, les personnalités ascendantes de l’espace font l’expérience des hauteurs de l’existence : elles ont le savoir ; elles connaissent la vérité ; elles peuvent philosopher… penser la vérité ; elles peuvent même chercher à faire le tour des concepts de l’Ultime et tenter de saisir les techniques des Absolus.
A l’extrémité méridionale du vaste domaine du YÊMÊ, les maîtres de philosophie font des cours approfondis dans les deux cents cinquante-six divisions fonctionnelles de la sagesse. Ils y donnent des conférences sur les plans et desseins de l’infinité. Ils cherchent à coordonner les expériences et à mettre en ordre les connaissances de tous ceux qui ont accès à leur sagesse. Ils ont développé un comportement hautement spécialisé envers différents problèmes de l’univers, mais leurs conclusions finales présentent toujours un accord uniforme.
Ces philosophes du YÊMÊ emploient toutes les méthodes d’instructions possibles, y compris la technique graphique de (YÊ-Hounmê) et certaines méthodes du Yêmê, pour communiquer des informations. Toutes ces techniques supérieures pour fournir des connaissances et transmettre des idées dépassent complètement les capacités intellectuelles des penseurs humains, mêmes les plus hautement développés. Une heure d’instruction sur le YÊMÊ équivaudrait à dix mille ans des méthodes mnémotechniques de Gbê (la Terre).
Vous ne pouvez pas saisir de telles techniques de communication, et l’on ne trouve absolument rien de comparable dans l’existence terrestre, rien à quoi elles puissent être assimilées.
Les maîtres de philosophie prennent un plaisir suprême à communiquer leur interprétation de l’univers des univers aux êtres qui se sont élevés des mondes de l’espace. Bien que la philosophie ne puisse jamais être aussi ferme dans ses conclusions que les faits de connaissance et les vérités d’expérience, cependant, lorsque vous aurez entendu les exposés de ces YÊSOUMÊ sur les problèmes non résolus de l’éternité et les accomplissements des Absolus, vous éprouverez une satisfaction certaine et durable concernant ces questions non entièrement approfondies.
Les recherches intellectuelles du YÊ ne sont pas télédiffusées ; la philosophie de la perfection est seulement à la disposition de ceux qui sont personnellement présents. Les créations qui l’entourent ne connaissent ces enseignements que par les êtres qui ont passé par cette expérience et qui ont exporté ultérieurement cette sagesse dans les univers de l’espace.

LES GARDIENS DE LA CONNAISSANCE.

Les gardiens de YÊ de la connaissance sont les « épîtres vivantes » supérieures connues et lues par tous ceux qui habitent le YÊMÊ. Ils sont les annales divines de la vérité, les livres vivants du vrai savoir. Vous avez entendu parler d’annales le « livre de vie ». Les gardiens de la connaissance sont précisément de tels livres vivants, des archives de perfection imprimées sur les tablettes éternelles de la vie divine avec une suprême sûreté. Ils sont en réalité de vivantes bibliothèques automatiques. Les faits des univers sont inhérents à ces YÊMÊNOU et sont effectivement incrustés dans ces YÊ-Houé. Par ailleurs, il est impossible par inhérence qu’une contre-vérité trouve à se loger dans la pensée de ces parfaits et complets dépositaires de la vérité éternelle et de l’intelligence du temps.
Ces gardiens font des cours officieux d’instruction pour les résidents de l’Île éternelle, mais leur principale fonction est celle des références et des vérifications. Tout hôte du YÊMÊ peut à volonté avoir à ses côtés le dépositaire vivant de la vérité et du fait particulier qu’il désire connaître. A l’extrémité nord du YÊMÊ se trouvent les vivants découvreurs de connaissances auxquels on peut recourir pour se faire indiquer le directeur du groupe détenant le renseignement recherché, et aussitôt apparaîtront les brillants êtres qui sont la chose même que l’on désire savoir. Vous n’avez plus besoin de chercher l’éclairement dans les pages grossoyées ; vous communiez maintenant face à face avec l’intelligence vivante. La connaissance suprême est ainsi tirée des êtres vivants qui en sont les gardiens finaux.
Quand on localise le YÊ-Houé qui est exactement ce que l’on désire vérifier, on trouve à sa disposition tous les faits connus de tous les Univers, car ces gardiens de la connaissances sont les résumés vivants et définitifs du vaste réseau des YÊMÊNOU enregistreurs, allant des Yêmênou et des YÊ-Houé des univers locaux et des super-univers jusqu’au chef archiviste des YÊ-Houé tertiaires dans YÊ).
Cette accumulation vivante de connaissances est distincte des archives officielles du YÊMÊ, qui sont le résumé cumulatif de l’histoire universelle.
La sagesse de la vérité prend origine dans la divinité de l’univers central YÊ, mais le savoir, la connaissance par expérience a surtout sa source dans les domaines du temps et de l’espace – d’où la nécessité d’entretenir les vastes organisations super-universelles des YÊ-Houé et YÊMÊNOU enregistreurs prises en charge par les Archivistes Célestes. Ces YÊ-Houé primaires, qui possèdent par inhérence un savoir universel, ont aussi la charge de l’organiser et de le classifier. En se constituant eux-mêmes la vivante bibliothèque de références de l’univers des Univers, ils ont classé la connaissance en seize grands ordres dont chacun comporte environ un million de subdivisions. La facilité avec laquelle les résidents de YÊMÊ peuvent consulter cette vaste réserve de savoir est uniquement due aux efforts volontaires et sages des gardiens de la connaissance. Ces gardiens sont également des éducateurs exaltés de l’univers central. Ils distribuent libéralement leurs trésors vivants à tous les êtres sur chacun des circuits de YÊMÊ, et ils sont utilisés largement, bien qu’indirectement, par les tribunaux des Anciens des Jours. Mais cette bibliothèque vivante, qui est à la disposition de l’univers central et des super-univers, n’est pas accessible aux créations locales. C’est seulement par voie indirecte et par réflectivité que les bénéfices de la connaissance PARADISIAQUE peuvent être obtenus dans les univers locaux.
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Philosis
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Commentaires

Philosis a dit…
ICI, débute LA FABULEUSE HISTOIRE de L'AVENTURE HUMAINE... (Notre Genèse)

Philosis
Philosis a dit…
...Ce 28 Juillet 2005,
par ce préambule, je laisse entrevoir au visiteur AMI, et frère du chemin qu'il peut SURFER dans mes pensées en TOUT AMOUR.
Philosis

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